Rejoignez-nous

Actualité

Journée de l'Holocauste : comment transmettre la mémoire?

Publié

,

le

Une journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste. C’était ce samedi 27 janvier. Elle symbolise la date anniversaire de la libération d’Auschwitz en 1945, ce camp de concentration et d'extermination nazi. Des commémorations essentielles mais qui doivent être prises dans leur globalité pour être mieux comprises. C’est en tout cas l’avis de Charles Heimberg, professeur de didactique de l’histoire et de la citoyenneté à l’Université de Genève.

Charles HeimbergProfesseur de didactique de l'histoire et de la citoyenneté à l'UNIGE

La transmission de l’histoire se fait par les témoignages. Mais le temps passe et les témoins se font rare. Ce qui ne va pas empêcher, pour autant, le travail de mémoire. Charles Heimberg.

Charles HeimbergProfesseur de didactique de l'histoire et de la citoyenneté à l'UNIGE

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

A quatre jours du premier tour, le flou persiste sur qui se désiste

Publié

le

Dans une lettre aux chefs de la majorité présidentielle, la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier (en vert au centre) a réclamé des "engagements simples et clairs" de désistement mutuel en cas de triangulaires pour "faire battre les candidats du Rassemblement national". (© KEYSTONE/AP/Thomas Padilla)

A J-4 du premier tour des législatives, la question du barrage au Rassemblement national est posée au camp présidentiel, qui refuse de prendre position avant le 1er tour. L'extrême droite accuse la gauche de vouloir contester "dans la rue" sa victoire annoncée.

Le second tour du 7 juillet est déjà dans toutes les têtes. Dans une lettre aux chefs de la majorité présidentielle, la cheffe des Ecologistes Marine Tondelier a réclamé des "engagements simples et clairs" de désistement mutuel en cas de triangulaires pour "faire battre les candidats du Rassemblement national".

"Lorsqu'un candidat républicain sera opposé à un candidat du Rassemblement national, nous soutiendrons le candidat républicain (..). Et vous ?", a-t-elle lancé en proposant une rencontre avec la majorité présidentielle.

"J'avoue ne pas comprendre votre incapacité à tenir des propos aussi clairs", a-t-elle ajouté alors que la macronie a pour stratégie au premier tour d'attaquer frontalement l'extrême droite comme les Insoumis associés à la gauche modérée au sein du Nouveau Front populaire.

Et se refuse à prendre position pour le deuxième tour avant les résultats de dimanche. Mardi, le chef de l'Etat, Emmanuel Macron et les cadres de sa majorité ont semblé se diriger lors d'une visioconférence vers un mot d'ordre "ni RN ni LFI", en semblant établir un distingo entre le mouvement de Jean-Luc Mélenchon et les autres partis de gauche. Mais "sans que le président (Macron) ne tranche",selon un participant.

Refus de "choisir"

Mercredi, la porte-parole du gouvernement Prisca Thevenot s'est refusée à devoir "choisir tout de suite entre un parti qui assume des propos racistes et un parti qui est plus que flou sur des faits d'antisémitisme", tout comme à mettre un "signe égal" entre les deux.

Le patron d'Horizons, Edouard Philippe, n'a guère été plus disert. "J'aurai l'occasion de m'exprimer de façon extrêmement claire sur le sujet au soir et au lendemain du premier tour", a-t-il déclaré, mais pas avant pour que ce ne soit pas "la seule chose dont on va discuter dans les derniers jours de la campagne".

"Espace central" ou "4e offre"

Au contraire, il a espéré qu'un "espace central" - incluant une partie de la gauche et de la droite - s'impose comme "une alternative" à la "tenaille" entre RN et LFI.

Mais déjà le ténor LR, Xavier Bertrand, a rejeté la main tendue, défendant plutôt "une quatrième offre" pour "éviter à la fois le RN, le Front Populaire et le statu quo macroniste".

A gauche, la stratégie de second tour ne fait pas non plus l'unanimité. Si les socialistes et les écologistes ont signé un appel en faveur d'un désistement pour battre le RN, chez les Insoumis "nous verrons au cas par cas", a assuré l'eurodéputée Manon Aubry.

Exécutif "prêt" pour les JO

A un mois des JO, l'exécutif s'est en tout cas attaché à montrer qu'il était "prêt" pour cette échéance, et a mis en doute la capacité de ses adversaires à faire de même s'ils remportaient le scrutin.

"Nous sommes prêts mais maintenant le déroulement est une autre histoire (...) Il y aura des arbitrages en matière de sécurité, de transport et tout ça suppose un peu d'expérience de la gestion de l'Etat", a lancé la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, lors du compte-rendu du Conseil des ministes.

Elle a accusé le Rassemblement national de s'en être "toujours désintéressé ou de n'avoir fait qu'agiter les polémiques". Côté France insoumise, ils ont "systématiquement voté contre toutes les lois olympiques, ne connaissent rien au dispositif de sécurité des Jeux et ont même appelé à une forme de sabotage avec de la grève avant et pendant les Jeux", a-t-elle aussi lancé.

"Risques de violences"

La ministre des Sports a, par ailleurs, concédé des "risques de violences" au lendemain des élections, tout en se refusant à toute "inquiétude" et en évoquant seulement "une vigilance reforcée".

"Si nous gagnons les élections législatives, alors oui probablement il y aura des manifestations dans les rues", a également prédit la cheffe de l'extrême droite Marine Le Pen, accusant par avance "l'extrême gauche" d'en être "responsable".

Une réponse aux propos d'Emmanuel Macron, qui a renvoyé dos à dos les "deux extrêmes" en début de semaine, affirmant que les programmes du RN comme du Nouveau Front populaire à gauche mèneraient "à la guerre civile".

Attal continue sa course

Pendant ce temps, le Premier ministre Gabriel Attal continue sa course de fond sur le terrain, pour tenter de réduire l'écart avec la gauche et l'extrême droite, toujours largement favorite dans les sondages.

Au lendemain d'un premier débat télévisé où il n'a pas économisé ses coups contre ses rivaux Jordan Bardella (RN) et Manuel Bompard (LFI), le chef de la majorité sortante est attendu dans l'après-midi en Indre-et Loire, avant un meeting en fin de journée dans sa circonscription des Hauts-de-Seine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Continuer la lecture

Genève

La Fête des écoles des 3P-4P tombe à l'eau

Publié

le

(KEYSTONE/Martial Trezzini)

C'est l'évènement que tous les petits attendent en fin d'année.  Il n'y aura pas de Fête des écoles pour les 3P-4P ce mercredi après-midi, à Genève. La Ville a décidé d'annuler la manifestation face au risque important d'orages et de vents tempétueux. 

La police cantonale a donc décidé, en collaboration avec la Ville, d’annuler la manifestation, pour assurer la sécurité des enfants.

Le cortège et les animations pour les 3P-4P de la Ville de Genève qui devaient se dérouler, dès 14h et jusqu’à 17h30 mercredi, dans le Parc des Bastions sont
annulés.

Mercredi matin, les 3300 enfants de 1P-2P de la Ville de Genève ont pu, par contre, profiter des manèges à disposition et des nombreuses animations, précise la Ville dans son communiqué.  Les autorités municipales et cantonales étaient présentes pour applaudir les enfants à leur arrivée dans le parc.

Vendredi, le parc des Bastions devrait accueillir comme prévu la fête des écoles des 5P-8P, ouverte au public, de 15h à 22h30.

Continuer la lecture

Politique

Vaud augmente son soutien aux familles d'accueil

Publié

le

Les familles d'accueil recevront une indemnité augmentée (Image prétexte). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Le canton de Vaud a décidé d'améliorer son soutien aux familles d'accueil. Dès le 1er juillet, les familles qui hébergent des mineurs au bénéfice de protection recevront une indemnité forfaitaire augmentée.

L'introduction de ce forfait aura pour conséquence une augmentation moyenne de 480 francs par mois pour couvrir l'augmentation des coûts de la vie. Ce nouveau système représente aussi une simplification administrative souhaitée par les familles, explique mercredi la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ).

Dans le canton, quelque 310 familles élèvent des mineurs au bénéfice de protection, à plein temps, en relais ou dans le cadre du cercle familial élargi. Une campagne de recrutement est en cours pour trouver 50 nouvelles candidates d'ici la fin de l'année. Onze enfants sont actuellement en attente d'une famille d'accueil.

Le nouveau forfait s'élèvera à 1900 francs par mois pour chaque personne mineure accueillie à plein temps et à 63 francs par jour pour celles et ceux qui sont accueillis en relais, durant le week-end ou les vacances. Il couvre les dépenses courantes comme la nourriture, les vêtements et les loisirs. Les dépenses exceptionnelles, comme les frais dentaires ou de lunettes, font l'objet d'un remboursement additionnel.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Mobilité

L'A13 praticable sur une piste dès juillet, l'autre moitié fin 2024

Publié

le

La chaussée de l'A13 a rompu sous l'effet des eaux déchaînées de la Moesa. Les travaux de comblement ont commencé. (© KEYSTONE/SAMUEL GOLAY)

L'autoroute A13 devrait rouvrir au trafic à partir du 10 juillet sur une piste par direction, suite aux intempéries qui l'ont endommagée dans le val Mesolcina (GR). L'OFROU l'a annoncé sur place mercredi. Les autres pistes seront rouvertes à la fin de l'année.

Les travaux de remise en état avancent rapidement, s'est réjoui Marco Fioroni, directeur de la filiale de l'Office fédéral des routes (OFROU) de Bellinzone, face aux médias réunis à Lostallo (GR). Les pelleteuses sont à pied d'oeuvre, aux limites de leurs capacités, dans la rivière Moesa.

Travaux risqués et météo déterminante

Ces travaux ne sont pas sans risque, ajoute Marco Fioroni. Ils visent à permettre au cours d'eaux de reprendre son tracé naturel, une fois débarrassé des gravats de roche qui l'en empêchent. Une trentaine de personnes travaillent sur place. Une vingtaine d'autres, dont des ingénieurs et des techniciens, sont occupées en arrière-plan.

Après le dynamitage de blocs de roche, leurs gravats ont été extraits du cours d'eau. Parallèlement, les travaux se poursuivent le long de l'A13 pour combler la chaussée rompue. Le goudronnage ne sera possible qu'une fois le terrain comblé et consolidé.

La réouverture de l'A13 sur une piste par direction, dans deux semaines, n'est pas encore acquise. Elle dépend fortement de la météo. Si le temps reste stable, les délais seront respectés. Si de nouveaux orages violents surviennent, l'autoroute ne pourra sans doute rouvrir que plus tard.

Liaisons ferroviaires supplémentaires

Mardi, le ministre des transports Albert Rösti a appelé les vacanciers qui se rendent au Tessin à prendre le train. Les CFF vont proposer des liaisons nord-sud supplémentaires les week-ends. Le conseiller fédéral a aussi annoncé que les fermetures nocturnes tunnel routier du Gothard, prévues pour cause de travaux, étaient annulées

Vendredi soir, la Moesa est sortie de son lit, suite aux intempéries. Son cours s'est déplacé latéralement de 50 mètres. La rivière a inondé l'A13 et l'a détruite sur une longueur de 200 mètres. L'axe du San Bernardino est fermé depuis la catastrophe. Les intempéries ont fait au moins un mort dans la région. Une personne blessée a pu être sauvée. Deux autres sont portées disparues.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Politique

Mise en oeuvre concrète des mesures de la loi sur le CO2

Publié

le

Signataire de l'Accord de Paris, la Suisse doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre de moitié par rapport à 1990 d'ici 2030 (illustration). (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Les mesures figurant dans la loi sur le CO2 doivent être mises en oeuvre concrètement. Le Conseil fédéral a ouvert mercredi la consultation sur des modifications d'ordonnance en ce sens. Le délai court jusqu'au 17 octobre.

Le Parlement a approuvé en mars la loi sur le CO2. Celle-ci règle la politique climatique helvétique pour les années 2025-2030.

Signataire de l'Accord de Paris, la Suisse doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre de moitié par rapport à 1990 d'ici 2030. En outre, elle doit atteindre le zéro net d'ici 2050.

Pour atteindre ces objectifs, la Suisse doit réduire à l'interne deux tiers des émissions de gaz à effet de serre. Le Conseil fédéral a fixé les objectifs de réduction des différents secteurs.

L'ordonnance sur le CO2 règle aussi le soutien de la Confédération pour les mesures d'adaptation aux changements climatiques. Elle précise encore différentes mesures d’encouragement pour les entreprises recourant à des techniques respectueuses du climat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture